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L’équation inadéquate

L’équation inadéquate

Vous n’êtes peut-être pas passé à côté de cette nouvelle ce matin… L’équation du professeur Cliff Arnal (Université de Cardiff) viendrait confirmer l’hypothèse selon laquelle le 3ème lundi de janvier est le jour le plus déprimant de l’année.

blue monday

Explication :

  • W correspond à la météo (Weather)
  • D-d est à la différence entre les dépenses des fêtes et la capacité effective de remboursement avant la prochaine paie(Debt)
  • T  renvoie au temps écoulé depuis Noël (Time)
  • à celui écoulé depuis nos résolutions du Nouvel An
  •  M est le Manque de motivation
  • et Na caractérise le « besoin d’agir »

 

Pour ne pas succomber au « Blue Monday » et passer un bon lundi au bureau, nous vous avons trouvé quelques arguments imparables:

  • Il fait BEAU (argument qui vaut pour les lyonnais, et jusqu’à la fin de la journée, mais restons positifs)
  • Les chocolats des fêtes sont en promo, nous tirons les rois actuellement, et la chandeleur se rapproche
  • Les soldes ont commencé
  • Nous avons plein de postes intéressants à pourvoir
  • et surtout : Cliff Arnall lui-même est revenu sur la formule !

Bon lundi !

Zoom sur : le café des créateurs à Annecy

Zoom sur : le café des créateurs à Annecy

A l’occasion des 1 an de lancement de la prestation ACTIV’CREA, l’équipe SOLERYS à Annecy a organisé un « Café des créateurs » le 03/10 dernier.

Au programme il y avait:

  • Un accueil « gourmand » permettant un temps d’échange libre entre les participants
  • La présentation du contrat CAPE et d’ EXPLORYS par Brice POUTEIL NOBLE
  • Le témoignage de 3 entrepreneurs qui ont présenté leur activité, mais aussi les besoins, difficultés et réussites qui ont jalonné leur parcours durant le lancement de leur société:
    • Christophe GODAL : Consultant en conduite de projet dans la filière bois et bâtiment
    • Sylvain MORVAN : Société UP IT, prestataire dans le domaine informatique
    • Jéremy DALEX : Société CORDEE 64, maître d’œuvre dans le bâtiment

Un événement réussi, qui a rempli l’objectif de partage d’expérience entre créateurs tout en permettant un temps dédié au développement de leur réseau !

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Le ski alpinisme, sport de dépassement sur « un terrain de jeu immense et magnifique »

Le ski alpinisme, sport de dépassement sur « un terrain de jeu immense et magnifique »

3ème volet de notre présentation de Côme, jeune athlète en ski alpinisme que nous parrainons. Il nous dévoile aujourd’hui sa discipline, ainsi que les valeurs qu’elle véhicule…

 

Tes photos donnent un bel aperçu de l’effort à accomplir en ski alpinisme. Peux-tu nous expliquer en quoi consiste cette discipline ? Que ressens-tu lorsque tu pratiques ?Come5

Le Ski alpinisme (ou ski de randonnée) consiste à parcourir des itinéraires de montagne d’une ou plusieurs montées et descentes. A la montée, le talon est libre (comme en ski fond) et on colle des peaux anti-recul (« peaux de phoques ») sous les skis. On les retire ensuite pour la descente hors-piste, chaussures et talons verrouillés.

 

Le terrain de jeu est immense et magnifique, il commence à proximité des stations et s’étend aux plus hauts sommets. Toujours dans le respect de la nature, on ne laisse que l’empreinte de ses traces dans la neige.

 

Il existe différentes disciplines :

  • La « Verticale Race » : entre 20 et 35 min, il s’agit d’une montée sur piste. Épreuve moins technique mais très intense. J’arrive parfois à des moyennes cardiaques de 195 battements par minute!
  • L’épreuve « Individuelle » : entre 1h15 et 2h00, épreuve reine du ski alpinisme. On enchaine les montées-descentes en hors piste. Technique aussi bien dans les montées (conversions, arêtes…), les descentes, et les transitions. Adrénaline garantie !
  • Les épreuves « par équipe » : Epreuve type « Individuel » que l’on effectue par équipe de 2 avec technique d’alpinisme (crampons, baudrier,cordes). Souvent plus longue et sur plusieurs jours. Plus engagée, on retrouve l’esprit de cordée. La « Grande Course » la plus prestigieuse est la Pierra Menta (en avril dans le Beaufortain) !

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Quels sont tes objectifs pour la saison qui s’annonce ?

L’hiver dernier,  j’ai intégré l’équipe de France Junior et j’ai été sélectionné sur les Coupes du Monde.  Mes objectifs de l’hiver 2016/17 pour ma 1ère  année Espoir, ce sont les podiums sur tous les Championnats de France (Individuel, Vertical, Equipe) et les sélections pour le circuit Coupe du Monde.

 

Pour conclure avant notre prochain échange, quelles sont à ton sens les valeurs véhiculées par la discipline du ski alpinisme ?

Je dirais : l’excellence, la détermination, le dépassement de soi, la rigueur et le plaisir. Des valeurs que nous partageons ! 😉

#I4emploi fête son premier anniversaire

#I4emploi fête son premier anniversaire

Le collectif #i4Emploi (influenceurs pour l’emploi) s’est donné pour mission de préserver des emplois. En septembre 2015, il s’est mobilisé pour trouver le repreneur d’une usine pharmaceutique corrézienne au bord de la liquidation et sauver une trentaine de postes. Retour sur une expérience inédite.

Deux hashtags pour rapprocher candidats et recruteurs

L’action du collectif s’est très vite emparée de Twitter, jouant sur le fort ressort viral du réseau. Aujourd’hui, elle réunit 1 500 twittos totalisant 1 million de « followers », dont la mission est de rapprocher demandeurs d’emploi et entreprises : les twittos engagés font du « Don de RT », partageant les tweets assortis d’un #i4emploiR de demandeurs d’emploi auprès de leur réseau, afin de leur donner plus de visibilité.

Pour le mode d’emploi opérationnel, toutes les informations utiles figurent ci-dessous :

 

Figure de proue de cette philanthropie 2.0, Alban Jarry anime depuis les débuts la communauté @i4emploi et a relevé le pari de mobiliser une pléiade de parties prenantes autour de cette cause depuis septembre 2015. La démarche est transparente, et au terme de quelques mois le hashtag #i4emploi s’est glissé dans les offres d’emploi des recruteurs, en entreprise ou en cabinet.

Personal branding et concision

Le réseau social Twitter, généralement particulièrement plébiscité par les profils estampillés génération Y et/ou occupant des postes en communication ou en IT, a su séduire dans ce contexte des demandeurs d’emploi aux profils variés, cadres ou non cadres, expérimentés ou jeunes diplômés.
Progressivement, le réseau s’est imposé comme canal d’accès à des « profils » plus qu’à des CVs (concision oblige), et les candidats peu initiés au personal branding doivent ici adapter le format « classique » de la candidature spontanée pour bénéficier de l’effet viral . En effet, se présenter en 140 caractères nécessite l’emploi des bons mots-clés, de se démarquer visuellement, d’ajouter un lien vers un CV en ligne plus complet, etc…

L’humain toujours au centre de l’expérience recrutement

Finalement, toutes ces normes issues du digital transforment profondément l’expérience candidat et recruteur, et participent à une logique de networking plus collaborative. La success story #i4Emploi permet de réaffirmer l’importance du facteur humain au sein de la transformation digitale qui s’opère.
Laissons le mot de la fin Alban Jarry, qui dans un récent entretien au Monde le soulignait en ces termes :

«On parle beaucoup des robots, mais pour le moment rien ne vaut la force des réseaux humains (…) Les réseaux sociaux peuvent être comparés à un brise-glace du networking, mais les résultats [de sa récente étude sur les réseaux sociaux] montrent aussi l’importance de ne pas décorréler les réseaux sociaux de la vraie vie »

Esprit d’équipe

Esprit d’équipe

Le soleil était de la partie !

Jeudi 15 et vendredi 16 septembre derniers, réunis sous des cieux favorables, les 70 salariés Alerys et Solerys se sont retrouvés pour deux journées placées sous le signe de la cohésion et de la rencontre.

Le Groupe Alerys intervient depuis plus de 20 années de conseil dans le domaine des ressources humaines. Historiquement, le recrutement et l’accompagnement de la transition professionnelle ont toujours été les deux piliers de l’activité : ils ont pris la forme de deux entreprises distinctes, Alerys et Solerys, en 2009.

La mise en place de nouveaux marchés chez Solerys avec une implantation de Strasbourg à Montélimar, et de Clermont-Ferrand à Annemasse, était une occasion parfaite pour rassembler tous les salariés, leur permettre de faire connaissance et d’échanger sur leurs métiers et leurs pratiques.

Grâce à une organisation soigneuse et parfaitement minutée (merci Sonia !), nous avons relevé les défis d’un rallye dans le Vieux Lyon avant de profiter d’une descente de la Saône en péniche. Cette journée ludique s’est conclue dans une ambiance festive et détendue, autour de tapas et de jeux de pétanque. De l’Alsace à la Drôme, de la Haute-Savoie à l’Auvergne, chacun a profité des douceurs lyonnaises d’une fin de journée estivale…

La double-rentrée de Côme, étudiant et champion en ski alpinisme

La double-rentrée de Côme, étudiant et champion en ski alpinisme

Il y a quelques jours, nous vous présentions l’ athlète Côme Deruaz dans un billet de notre blog. Aujourd’hui il partage avec nous son parcours dans le ski alpinisme, sport avec lequel il s’est illustré à plusieurs reprises et qui l’a déjà mené jusqu’aux podiums.

 

Come2Bonjour Côme, et merci de partager ton expérience ! Aujourd’hui s’imbriquent tes deux vies parallèles, celles d’étudiant et de sportif de haut niveau en ski alpinisme. Quel est ton parcours et quels sont tes objectifs ?

Quand je débute le haut-niveau en ski alpin, j’intègre en 2010 le pôle espoir de Moutiers (Lycée ski-étude) et je cours sur le circuit FIS, ce qui demande un engagement total : préparations physique et mentale intenses, étés en hémisphère Sud et plus de 50 courses chaque hiver dans toute l’Europe.

Après l’obtention d’un BAC S Mention Très Bien, je rentre à l’Université Paris-Dauphine en 2014, en licence Economie et Gestion, dans la section aménagée pour sportifs de haut niveau.

Mon objectif est la double excellence académique et sportive. Je suis très fier de partager cette expérience avec Alerys, qui m’encourage, me soutient dans mon projet et contribue à me donner les clefs pour performer !

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Qu’est-ce qui a motivé ton choix pour cette discipline peu connue du grand public ?

J’avais envie de me lancer un nouveau défi : performer dans un sport d’endurance, domaine dans lequel mes qualités physiques et mentales ont souvent étonné mes entraineurs. Mon expérience du ski et ma passion de la montagne m’orientent naturellement vers le Ski Alpinisme.

Cette discipline reste encore très confidentielle mais est en plein essor, et qui sera sport de démonstration aux prochains JO (2018).

 

En plus de ta rentrée étudiante, comment as-tu préparé ta rentrée sportive cette année ?

La préparation a déjà commencé à la fin du printemps ! Au programme de l’été : du vélo, de la montagne, des trails, des kilomètres verticaux (1000m de dénivelé positif, record personnel en 35min27), du ski-roue, du plaisir, et des photos pour partager ensemble ce long mais passionnant chemin vers la performance !

Alerys présente Côme, athlète en ski alpinisme que nous parrainons !

Alerys présente Côme, athlète en ski alpinisme que nous parrainons !

Chez ALERYS, nous aimons le sport quand il véhicule des valeurs d’engagement pour le résultat, de dynamisme, d’exigence que nous partageons dans notre quotidien professionnel.

Nous avons choisi de parrainer un jeune athlète : Côme Deruaz. Il va nous faire découvrir sa passion le ski alpinisme, encore confidentielle et en plein essor. Et notre athlète affiche d’ores et déjà un beau palmarès :

  • Vice-champion de France Individuel 2016
  • Vice-champion de France par équipe 2016
  • 3ème Championnats de France Vertical Race
  • 3ème Championnats de France des Clubs
  • 2ème au général de la Pierra Menta Jeunes
  • 8ème à la Coupe du Monde Vertical Race (Andorre)
  • 11ème aux Championnats d’Europe Individuel

Rendez-vous très vite pour suivre ses aventures sportives, au fil de plusieurs articles qui lui seront consacrés.

 

Ressources Humaines internationales : vous prendrez bien un peu d’interculturalité ?

Ressources Humaines internationales : vous prendrez bien un peu d’interculturalité ?

Petit rappel : l’interculturalité est un néologisme qui désigne l’ensemble des relations et interactions entre des cultures différentes, générées par des rencontres ou des confrontations, qualifiées d’interculturelles. Impliquant des échanges réciproques, elle est fondée sur le dialogue, le respect mutuel et le souci de préserver l’identité culturelle de chacun.

Au sein de l’entreprise, arriver dans un pays étranger fort de sa propre culture et de ses codes, et appliquer ses méthodes sans tenir compte de la culture du pays, de ses us et coutumes, et de son environnement géo-politique, est assurément une erreur qui sera fatale… Evidemment, cette conception des ressources humaines est globale et vaut également pour les profils internationaux qui rejoignent notre beau pays et toute sa complexité.

Que dire, de ce profil indien issu d’un grand groupe international qui a illustré son « choc culturel » en arrivant en France, à travers l’exemple de la place de la vache au sein de notre société ? En Inde chaque partie de son corps symbolise une divinité, alors qu’en France on représente les parties de son corps avec les morceaux de viande qui la composent et qui finiront dans… notre assiette !

vache sacrée découpe vache

Face à l’interculturalité, il est donc fondamental de faire abstraction des impressions négatives que nous pouvons avoir au premier abord. En effet, selon différents témoignages recueillis ici et là auprès d’acteurs internationaux sur les différents continents, il apparaît nécessaire d’être humble, très curieux des différences culturelles et de prendre en compte les valeurs et la culture de chacun. Il nous faut observer le monde autrement…

Il est vivement recommandé de conserver l’esprit ouvert et d’être curieux pour réussir sa fonction RH à l’international. Il s’agit d’essayer d’avoir une cohésion d’équipe à travers des savoirs, des savoir-faire et des savoir-être différents pour que tout le monde puisse comprendre et finalement adhérer à des valeurs communes. En somme, il s’agit de “Penser global et Agir local” !

Un pilier de notre métier RH n’est-il pas de profiter de la richesse de la diversité de l’international ? En effet, un DRH délocalisé à l’étranger permet d’avoir une autre vision qui s’avère particulièrement enrichissante pour une entreprise.

En somme, il n’existe pas de pratique universelle. La différence est partout et à notre porte, et il est bon de toujours en tirer le meilleur. Il ne faut surtout pas gommer les différences mais s’enrichir de celles-ci et partager ensemble. Les interprétations peuvent diverger mais, surtout, les préjugés doivent être mis de côté…