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La MOOC list avant l’été

La MOOC list avant l’été

L’offre de MOOC ne cesse de s’enrichir, tant pour ceux qui veulent se former et se professionnaliser que pour ceux qui ne recherchent que le plaisir d’apprendre.

Cela deviendrait presque difficile de s’y retrouver.

MOOC-francophone et MY MOOC sont une aide précieuse et se présentent comme les « trip advisors » de la formation en ligne.

Voici une (toute) petite sélection des formations gratuites et accessibles prochainement…

Réussir le Changement – Essec

L’accélération de l’environnement socio-économique conduit les entreprises à multiplier les projets de changement (nouveaux produits, applications digitales, optimisation des coûts, nouvelles organisationnelles, etc.).

Ce MOOC est une réponse à la généralisation de la compétence en conduite du changement. Il propose une présentation des principaux outils, méthodes et théories en gestion du changement.

Du 6 juin – au 31 juillet.

Effectuation : l’entrepreneuriat pour tous – 4ème édition – EM Lyon

Qu’est-ce que « l’effectuation » ? Ce MOOC présente cette logique d’action utilisée par les entrepreneurs experts et entend démontrer que l’entrepreneuriat n’est pas réservé à des super-héros…

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6 semaines // début à définir, en juin // les pré-inscriptions sont ouvertes

 

Et pour le plaisir de la connaissance :

Le langage entre nature et culture – Université Aix-Marseille

L’idée de ce MOOC est de faire découvrir quelques éléments-clés de ce que nous savons aujourd’hui du langage humain – cette formidable faculté de communication et d’élaboration de la pensée dont nous sommes dotés.

5 semaines // débute le 6 juin // fin d’inscription le 4 juillet.


FUN MOOC : Le langage entre nature et culture par fr-universite-numerique

MT180 : « in vino veritas », in la recherche aussi !

MT180 : « in vino veritas », in la recherche aussi !

Hasard du calendrier, à Bordeaux deux symboles français étaient à l’honneur simultanément la semaine dernière : le vin et la recherche académique.  Alors que se tenait l’inauguration de la Cité du vin, la ville accueillait également la finale française de l’événement « Ma Thèse en 180 secondes » (MT180).

Le principe est simple : des thésards de tous horizons (informatique, lettres, médecine, géographie…) présentent leurs travaux de recherche en 3 minutes top chrono. Ce concours de vulgarisation scientifique est né en Australie il y a 8 ans, puis décliné dans sa version française en 2012 à l’initiative de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS) au Québec.  Depuis, plusieurs pays francophones d’Europe et d’Afrique ont pris part à l’événement et tous disputeront la prochaine finale internationale MT180. Cette année, elle se déroulera le 29 septembre 2016 à Rabat.

Un décloisonnement du monde académique

Le concours « Ma Thèse en 180 secondes » s’inscrit dans la lignée des Conférences TED, qui ont suscité un fort engouement ces dernières années. La notion d’ »accessibilité » est primordiale, la démocratisation des connaissances passe par un contenu simplifié et diffusé largement.

Les équipes organisatrices de MT180 ont adopté une communication digitale efficace, se dotant d’un fil Twitter très suivi et d’un blog dédié. D’autre part, ils ont fait le choix de transmettre la finale en streaming sur le site MT180.

Et toutes les sciences sont mises en lumière ! A l’image des trois finalistes français cette année :

  • Mathieu Buonafine a remporté le premier prix du jury avec sa thèse « Etude du rôle de la Neutrophil Gelatinase Associated Lipocalin dans les effets cardiovasculaires de l’activation du récepteur minéralocorticoïde »
  • Bertrand Cochard a remporté le deuxième prix du jury ainsi que le Prix du Public lors de la finale nationale 2016 avec sa thèse « Réification, spectacle et imagification dans la philosophie de Guy Debord »
  • Nicolas Urruty a remporté le troisième prix du jury lors de la finale nationale 2016 avec sa thèse : « Impact de la réduction des pesticides sur le rendement du blé »

Encourager les chercheurs à vulgariser leur thème de recherche rend la science plus accessible, permet à un public non-initié d’appréhender les enjeux scientifiques et sociétaux de demain. La lumière se fait plus grande sur des leviers de progrès concrets, et ceci nous apporte une dose d’optimisme en-sus !

Vulgariser pour s’insérer dans le monde professionnel

L’exercice MT180 est un peu à l’image des levées de fond pour les start-up, où les porteurs de projets sont amenés à convaincre un auditoire de business angels afin de bénéficier de leur appui financier. Dans une autre mesure, cette compétition permet de valoriser la recherche académique sur le plan international, et de faire rayonner les universités de l’hexagone par une autre approche que celle des classements.

Nous sommes bien loin du cliché éreinté du scientifique coincé dans sa bibliothèque ou représenté en véritable rat de laboratoire,  le format MT180 est un exercice subtil nécessitant d’allier concision et techniques oratoires. Par le jeu de scène et l’emploi d’analogies, le spectateur sent du bout des doigts des sujets qui demeureraient inaccessibles sous forme d’articles scientifiques.

L’insertion des jeunes chercheurs dans le monde professionnel est aussi le fer de lance de l’association Bernard Grégory (ABG), qui organise un concours de pitch professionnel pour permettre à de jeunes docteurs ou doctorants en fin de thèse de se présenter efficacement en entretien réseau ou en entretien d’embauche. Les deux critères principaux sont :

  • la capacité à parler de son expérience vécue (doctorat ou post-doc) en termes de résultats et les faire valoir.
  • la capacité à se projeter dans l’avenir, c’est-à-dire : parler en termes de projet professionnel.

Le travail de vulgarisation constitue une étape importante dans le processus de recrutement à un poste de spécialiste. Le recruteur espère pouvoir appréhender le contenu scientifique des missions réalisées par son candidat, sans pour autant être doté du même bagage scientifique ou technique…

Pandathlon 2016 : Alerys et Solerys se joignent à l’événement

Pandathlon 2016 : Alerys et Solerys se joignent à l’événement

Participer au Pandathlon 2016, c’est contribuer à la protection de l’environnement et afficher notre engagement lors d’un événement à ancrage local.

Alerys et Solerys ont décidé de composer deux équipes : les Pandalerys et les Pandagônes,  qui parcourront 18 km sur 1 500 mètres de dénivelés au pied du Mont-Blanc… Notre objectif ? Récolter des fonds pour sauvegarder le toit de l’Europe.

« Grâce au Pandathlon, le WWF France et la Commune de Saint-Gervais ont pu initier un projet écologique novateur et ambitieux : la restauration du Mont-Lachat. Cette opération consiste à détruire des bâtiments militaires vétustes aujourd’hui inutilisés et restaurer l’équilibre écologique du site. Il s’agit de restituer le patrimoine naturel du Mont-Blanc, et, en d’autres termes, de redonner ses droits à la nature » Philippe Germa, Directeur Général du WWF France.

 

Pour nous soutenir, vous pouvez visiter nos pages :

Très chers mécènes, nous n’attendons désormais plus que vous pour nous lancer dans cette éco-aventure !

Imposition : les dons faits à notre projet ouvrent droit à une déduction fiscale de 66 % du montant du don pour les particuliers, et de 60 % pour les entreprises

A la recherche des candidats poètes

A la recherche des candidats poètes

Le 18ème Printemps des Poètes se termine en France et à l’international. Il a pour vocation, à travers des manifestations variées, de sensibiliser à la poésie sous toutes ses formes.

La poésie, c’est beau, cela nous rappelle nos années d’écoliers, avec une tonalité un peu nostalgique peut-être … Mais qui, une fois à l’âge adulte, a encore le temps et/ou l’envie de s’intéresser à la poésie ?

Est-ce que le 18ème Printemps n’est pas le chant du cygne ? Renouveau ou mourant ?

Chez ALERYS, nous nous sommes demandés si la poésie inspirait les candidats que nous rencontrons quotidiennement dans le cadre de recrutements. Nous avons mené l’enquête.

Renseignements pris auprès de l’équipe de consultants : aucun souvenir d’avoir échangé sur le sujet, ou d’avoir vu mentionnée la poésie dans la rubrique « Hobbies » des CV. On nous cite plus volontiers le sport, les voyages, la littérature ou la musique…Thèmes légèrement ennuyeux pour un recruteur car tellement rebattus, mais qui ont le mérite d’être rassembleurs et peu risqués …

Alors nous sommes allés interroger nos CVThèques : « candidats, y a-t-il parmi vous, au moins UN amateur de poésie ? ». La saisie de ce mot-clé nous envoie tout d’abord à la « rue des Poètes » ainsi qu’à « Amélie Poête », qui nous font rêver quelques instants… mais que nous écartons.
En saisissant « poésie », nous découvrons enfin, avec surprise et ravissement, quelques candidats qui exercent des métiers « techniques » (comme un directeur financier, un consultant en organisation, un juriste…) et qui citent comment centres d’intérêt la lecture, voire l’écriture de poèmes ! Ouf !

Nous sommes rassurés, la poésie peut avoir sa place, si ce n’est en entreprise, tout du moins dans le cœur des femmes et des hommes qui la composent ! N’hésitons pas à lui faire une place encore plus grande…

Et pour passer des paroles à l’acte, je cède la plume à une de nos consultantes, poète à ses heures :

Le candidat parfait

J’ai l’audace de la jeunesse
Et la maturité qui sied aux années,
Souple jusqu’à la prouesse,
Rigoureux pour un travail soigné.

Je suis mobile, je suis agile,
Mais je ne veux pas tout le temps bouger,
Je communique, je suis habile,
Sans toutefois trop dévoiler.

Du potentiel pour évoluer,
Et la patience d’attendre mon tour,
Du courage pour m’exprimer,
Main de fer dans un gant de velours.

Tantôt sur cinq pattes, tantôt sur six,
Je suis une chimère qui fait rêver,
Au fil d’un brief, on m’esquisse,
Je suis le candidat parfait.

Un tour du monde des RH…

Un tour du monde des RH…

Nous avons embarqué pour un tour du monde des Ressources Humaines lors du forum IGS RH qui s’est déroulé à Lyon le 17 mars dernier.

Un Panorama de l’interculturalité et des « carnets de voyages » ont transporté l’auditoire dans cette expédition aux quatre coins du monde. De l’Inde, à l’Espagne en passant par l’Irlande, les Etats-Unis et la Côte d’Ivoire, les anecdotes ponctuellement partagées par les intervenants ont illustré les éléments clés à prendre en compte lorsque les Ressources Humaines s’ouvrent à l’international.

Décollage immédiat

Comme Anna Dimitrova, Professeur en Relations Internationales à l’ESCE le constate : « la globalisation […] donne naissance à quatre phénomènes relativement nouveaux et étroitement liés : instantanéité, interconnection, interchangeabilité et interdépendance »[1]. Le néologisme de Roland Robertson « glocalisation » fait sens dans notre monde actuel où le local et le global sont profondément liés, s’influençant respectivement. Le monde est global, avec des spécificités locales.

Altitude de croisière

Histoire et culture construisent les spécificités locales. Pour appréhender l’interculturalité (ou porter un éclairage sur ses propres expériences), des outils existent. Les « Dimensions culturelles » de Geert Hofstede ainsi que les concepts de Richard Lewis peuvent être des « grilles de lecture » efficaces.

Il est toutefois important de souligner que « stéréotypes » et « spécificités culturelles » ne sont pas des synonymes. Une décision prise à partir de stéréotypes aura probablement des répercussions négatives, alors qu’une intégration des spécificités culturelles dans la définition de votre stratégie participera pleinement à son succès.

Descente et approche

D’un point de vue plus pragmatique, quelques conseils ont été partagés au fil de la journée.

L’humain est au centre de l’entreprise. En tant que collaborateur d’une organisation ouverte à l’international (ou souhaitant s’ouvrir), développer sa capacité multiculturelle est indispensable. Humilité, écoute, empathie, ouverture d’esprit et curiosité sont les clés de votre expérience internationale réussie.

En tant que membre des Ressources Humaines, vous aurez à cœur de développer des managers globaux, modestes et respectueux des traditions, capable d’unir des équipes multiculturelles autour de valeurs communes et de faire remonter les bonnes pratiques locales.

Atterrissage

Les Ressources Humaines qui s’ouvrent à l’international doivent ainsi être ambassadrices auprès de l’ensemble des collaborateurs de l’organisation : évoluer dans un environnement multiculturel, c’est, comme le résume Alexis GRÜND, DRH Hermès Horlogerie : « s’enrichir des différences et bâtir des ponts ». Et pour cela, il n’est pas nécessaire de parcourir des kilomètres, la mise en pratique peut débuter dès la machine à café !

[1] Anna Dimitrova, « Le « jeu » entre le local et le global : dualité et dialectique de la globalisation », Socioanthropologie [En ligne], 16 | 2005, mis en ligne le 24 novembre 2006.

La MOOC list de Mars est arrivée !

La MOOC list de Mars est arrivée !

Le MOOC pour gagner en agilité

Accéder au MOOC « du manager au leader agile »

Le développement concomitant de la complexité, de l’incertitude, de l’individualité et de l’interdépendance a vu émerger de nouvelles pratiques managériales. Apporter plus de souplesse et d’adaptabilité, voila le défi qui anime les « agilistes » depuis plusieurs années déjà.

Un MOOC a fait des émules dès sa première mouture il y a deux ans, rassemblant plus de 90 000 inscrits. Vous pouvez-vous y inscrire jusqu’au 10 avril.

 

Le MOOC pour s’entraîner physiquement

Accéder au MOOC « l’entraînement sportif en trail et ultra-trail »

Le 15 septembre dernier se déroulaient les premières « assises européennes sport et entreprises ». Le thème de cette rencontre était : « Le sport : un enjeu de performance sociale et économique pour l’entreprise ». De là à se préparer à un trail, il n’y a qu’un pas !

Un MOOC qui met la technologie au service du sport, en aidant les participants à se préparer à l’entraînement grâce aux conseils aiguisés de professeurs d’EPS.

Le MOOC philo, pour prendre plus de recul

Accéder au MOOC « développer sa pensée critique »

« Ce MOOC a donc une double vocation : l’acquisition de certaines connaissances nécessaires à bien comprendre les enjeux de la pensée critique, et une invitation à penser par soi-même dans un monde complexe. »

La perte de sens est un enjeu sociétalprégnant, et le travail n’est pas épargné par cette problématique. La philosophie pourrait bien être un remède efficace pour surmonter cet épisode contagieux, avec cette piqûre de « pensée critique ».

Le MOOC pour les générations pré-Y

Accéder au MOOC « compétences numériques pour les cadres »

Sorti tout droit du Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, ce MOOC fait office de cours de rattrapage pour ceux ayant loupé le virage digital.

Qu’est-ce qui fait courir la « génération Y » ?

Qu’est-ce qui fait courir la « génération Y » ?

En ce début d’année 2016, l’un des principaux chantiers des DRH serait d’attirer et fidéliser des « jeunes », généralement étiquetés sous l’appellation « génération Y ». Cette population des 20-35 ans a-t-elle vraiment des attentes différentes des autres générations ?

Regardons de plus près.

Le top 10 du classement Universum et le palmarès dressé par Le Figaro Economie nous informent que les big 4 en finance, les acteurs du luxe et de la grande distribution ou encore les géants industriels français trônent toujours en tête des entreprises préférées des jeunes diplômés. Quand on s’arrête un peu sur les aspirations de ces jeunes adultes, on constate qu’elles sont sensiblement les mêmes que celles de leurs prédécesseurs.

Les entreprises plébiscitées par la jeune génération sont celles que l’on retrouve dans un autre classement lancé cette année : le Prix Glassdoor du Choix des Employés 2016. Une méthodologie quelque peu différente de ce que l’on connaissait auparavant, puisque ce sont les salariés qui notent leur propre entreprise, toutes générations confondues, tous niveaux de hiérarchie ou de diplôme. A bien y regarder, l’attractivité des entreprises ne varie pas selon l’âge des sondés.

Un constat qui laisse dubitatif : les attentes de la génération Y sont-elles aussi disruptives que l’on veut bien nous le faire croire ?

 

Révolution digitale dans l’entreprise : qui fait quoi ?

Révolution digitale dans l’entreprise : qui fait quoi ?

L’anti-conférence TruLyon s’est tenue le 11 décembre dernier. Parmi les nombreuses thématiques abordées revenons dans cet article sur un sujet qui a déchaîné les passions : « les RH sous les projecteurs du digital et dans l’ombre des dirigeants ».

Am, stram, gram

On identifie plusieurs parties prenantes dans un tour de table des acteurs de la révolution digitale dans l’entreprise : la Direction, les Ressources Humaines, la DSI, l’ensemble des collaborateurs de la structure…ou le geek de service ? Parmi elles, faut-il tirer au sort celle qui prendra à bras le corps ce changement majeur et transformera l’entreprise en société 2.0 ?

Dans la famille des RH, je voudrais…

Le/la DRH ! Indéniablement, aujourd’hui il n’est plus le seul et unique ambassadeur de l’entreprise à l’extérieur : il porte le discours de sa structure, au même titre que l’ensemble des collaborateurs. Manager des talents, l’attention portée à la révolution digitale est forte : c’est à lui qu’il revient d’impulser le changement pour rester dans la course. Il est le porte-parole de cette transformation culturelle en interne et veille à ce que l’ensemble des collaborateurs soit entouré et impliqué.

1, 2, 3, soleil !

La Direction est figée face à cette révolution? Cet état doit être temporaire car ce changement n’est pas seulement un effet de mode, il est effectif : les consommateurs (et même les candidats) ont évolué dans leurs habitudes (recueil d’avis, choix d’entreprises, achats en ligne…). Ainsi c’est à elle d’inclure dans sa stratégie cette nouvelle dimension digitale pour pouvoir identifier les nouveaux risques existants mais surtout saisir les nombreuses opportunités offertes à l’entreprise.

Revenir sur l’événement TruLyon

 

 

REBONDIR – un enjeu économique et social.

REBONDIR – un enjeu économique et social.

Le groupe ALERYS est partenaire de la VILLE de LYON dans un projet novateur et responsable : l’école de la reconversion.

 

A titre expérimental, la Direction Générale aux Ressources Humaines de la Ville de Lyon et le Groupe ALERYS ont mis en place un accompagnement soutenu en faveur d’une quarantaine d’agents en reconversion professionnelle à la suite d’une déclaration d’inaptitude médicale à leurs fonctions.

 

Le projet REBONDIR s’est construit dans la coopération, alternant suivis individuels et temps collectifs. Agents, conseillers mobilité, Directions de la Ville, consultants du groupe Alerys se sont mobilisés pour construire des projets de transition professionnelle réussie.

 

Grâce à un dispositif complet proposant une phase d’accompagnement intensive, suivi d’une période de stage et d’un apprentissage de 13 mois, les agents ont pu reprendre confiance en leurs capacités, leurs compétences et devenir acteur de leur avenir professionnel.

 

Cette expérimentation fera des émules, car tout le monde y gagne : les agents, les directions qui les accueillent, la collectivité.

VISITE DU GRAND STADE

VISITE DU GRAND STADE

L’un de nos partenaires lyonnais, acteur local de l’emploi et de l’insertion, nous a offert l’opportunité de visiter le chantier du Grand Stade, projet sportif bien sur, mais aussi grand projet économique porteur de nombreux emplois et qui va être inauguré en Janvier 2016. Ce fut pour nous l’occasion d’inviter certains de nos clients à partager avec nous ce grand moment. Le directeur général de l’OL qui nous a guidé pour la visite, profitant pour nous présenter le business modèle de l’opération.

Et à travers ce gigantesque chantier, c’est un projet totalement bluffant qui se dessinait sous nos yeux : un stade immense et ultra moderne, mais aussi complexe de loisirs voulant conquérir petits et grands, clientèle privée et professionnels… Que l’on soit fana de foot ou pas, on ne peut qu’être impressionné par l’audace et le gigantisme du projet et par le professionnalisme et les défis relevés par les équipes qui s’investissent depuis plusieurs années sur ce projet.

 

Convivialité, échanges, fous rires, cette visite sous le soleil, a constitué un vrai bon moment.